25 février 2009

Coursière à Paris

Comme l'air sentait le printemps, j'ai ressorti mon vieux vélo et suis allée chercher des commandes clients aux éditions L'Harmattan.
Sur la photo, leur librairie 16, rue des Ecoles, Paris 5ème.


Leur comptoir de vente libraire, rue de l'Ecole Polytechnique.
C'est l'éditeur français qui a le plus grand nombre de titres à son catalogue avec une majorité d'auteurs africains.
Au retour, j'ai flâné. Chut, ne le dites pas à Maryline. J'ai poussé une porte magnifique.
Il faut parfois ouvrir des portes...
...et découvert une maison de rêve.
Le ciel était bleu par moment, il fallait juste saisir le moment pour la photo.

Lorsque je suis rentrée à la librairie, Maryline m'a rassurée, les clients ne l'avaient pas bousculée.
Il ne faut pas désespérer, a t-elle ajouté. Un client est venu chercher un livre commandé en décembre.
Un autre est venu pour faire ses cadeaux de Noël.
Mieux vaut tard que jamais, ai-je un jour écrit à Jean Grégor, l'auteur de Zénith, éd. Mercure de France. Il m'avait répondu que c'était une devise qu'il faisait sienne lui aussi.

Une cliente nous a demandé L'étreinte furtive.
Nous avons souri en lui tendant L'étreinte fugitive de Daniel Mendelsohn, l'auteur des Disparus, éd. Flammarion.
Puis nous nous sommes posées la question de savoir ce qui était mieux l'étreinte furtive ou l'étreinte fugitive? Cette matière à réflexion profonde nous a occupées pendant quelques minutes.

J'ai relu Les Passagers du vent de Bourgeon, éditions 12Bis. j'ai retrouvé le même bonheur de lecture que j'avais eu jadis en découvrant cette magnifique bande-dessinée...et certains passages se passent à Noirmoutier.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci Corinne pour la balade...! C'est toujours agréable pour les provinciaux de se promener, même virtuellement, dans cette merveilleuse ville !
Bises!
G

Anonyme a dit…

Bonjour à vous deux,
Je suis heureux que nous partagions aujourd'hui le même soleil. Le mien vaut le votre et je ne crois pas vous en priver en me mettant en position d'en bénéficier au maximum. C'est épatant de penser pouvoir partager sans diminuer. C'est un peu comme d'être plus riche de nos idées partagées, alors quand l'occasion se présente surtout ne pas bouder son plaisir. Bonne continuation et à bientôt, Jean de Lyon !