14 mars 2007

Lecture Double Change

Hier soir, je suis allée au Point Ephémère écouter deux poètes:Elizabeth Willis et Pascal Poyet.L'Association Double Change ,avec le soutien du CIPM et d'un Bureau sur l'Atlantique, organise des lectures bilingues de poésie en France.
http://www.doublechange.com

A chaque lecture, je découvre de nouveaux noms, des nouvelles têtes , des nouvelles voix.J'aime bien écouter.La voix reflète.Elizabeth Willis lisait gracieusement. Chez Pascal Poyet, on sentait l'habitude de la lecture, c'était agréable de les entendre.Je ne comprends pas tout mais suis presque toujours surprise par l'inventivité des auteurs .
C'est un des endroits où mon esprit s'évade .
Je vous ai déjà parlé de Pascal Poyet qui dirige les éditions contrat maint avec l'artiste Goria.Il nous a lu des extraits de Au compère, paru au Bleu du ciel en 2005.


Pour une tête de litote comme moi, les codes à retenir sont une plaie.
Aussi aujourd'hui, pour aller déposer quelques billets dans l'avaleur automatique de la banque, je devais avoir le code de notre nouvelle carte bleue société. Mais comme j'ai aussi une nouvelle carte bleue personnelle, des nouveaux codes d'accès au logiciel, un changement de code à ma porte d'immeuble, un code pour commander sur Dilicom de chez moi, un code pour mon nouveau téléphone portable,des mots de passe pour rédiger le blog,je mélange un peu tout ça.

J'ai demandé à Maryline si elle se souvenait du code de la carte bleue de litote. Elle m'a répondu qu'elle l'avait inscrit sur un petit papier mais elle ne savait plus où elle l'avait mis...

A la banque, comme je mettais un peu de temps devant l'avaleur de billet, j'ai entendu une réflexion d'une personne derrière moi qui se demandait si mon commerce était honnête...En voilà des suppositions!
Ca m'a fait rire.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Un petit truc quabnd on peut choisir ses codes (comme pour son téléphone portable...) reprendre le plus souvent possible le même code.
C'est comme pour les mots de passe des sites Internet : prendre toujours le même mot de passe.
Sinon on devient fou et s'il faut tout écrire quleque part, on ne se souvient jamais où on l'a écrit... C'est la vie moderne (et ecnartée).
B

litote en tête a dit…

B, Oui, vous avez raison. J'essaie de reprendre le même code mais pas toujours facile (Ma banque ne veut pas m'attribuer comme code ma date de naissance et le syndic non plus).
Quant-aux mots de passe, je ne sais plus quel prénom de mes filles ou de mon mari j'ai donné...
Une vraie tête de litote je suis!
Et le pire , c'est que ça ne s'arrange pas avec l'âge.