21 janvier 2008
Darina al-Joundi à la Maison des Métallos
Ce soir, les librairies étaient conviés à une représentation exceptionnelle du spectacle inspiré du récit Le jour où Nina Simone a cessé de chanter,écrit aussi par Mohamed Kacimi, paru aux éditions Actes Sud (coll. Bleu)
Maryline qui avait terminé le livre, m'avait prévenu: -" Tu verras, la vie de cette jeune fille au Liban pendant la guerre est terrible, sa jeunesse est fracassée..."
Le petit temps bruineux incitait à rentrer vite dans ce lieu magnifiquement restauré.
L'horloge. (cliché pris de l'intérieur au premier étage).
La salle était pleine...
Darina al-Joundi était éblouissante. J'ai a-d-o-r-é cette comédienne et le texte. Touchée par la force de ses mots et de son jeu, j'ai pleuré en même temps qu'elle et mon voisin aussi. (Je l'ai vu essuyer discrètement une larme.)
Et je n'avais pas de mouchoirs...
Devant la scène à la fin du spectacle, l'éditeur Thierry Fabre, le metteur en scène Alain Timar et Mohamed Kacimi au micro.
Un buffet libanais a suivi le spectacle.
A noter que les buffets des éditions Actes sud sont toujours délicieux...
et que les libraires ont toujours un petit sac avec des cadeaux. Cette fois-ci, l'éditeur nous a offert aussi le roman Les dénonciateurs, de Juan Gabriel Vàsquez, trad. Claude Bleton, un agenda et un petit carnet de note.
Je l'emporterai samedi en vacances.
Re-bises à Isabelle (librairie L'Imagigraphe), Michèle et Alain (librairie L'Astrée).
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1 commentaire:
bonjour, n ayant pas vu le spectacle, je n ai entendu que des bons commentaires sur celui-ci, j espere qu elle et sont equipe pourront se (re)produire a la maison des metallos... juste un petit bravo avant un greand salut. nicolas.
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