24 novembre 2006

Bénédicte Vilgrain au Musée Zadkine

Ce soir ,Bénédicte Vilgrain était au musée Zadkine. Elle nous a lu des extraits de sa Grammaire tibétaine parue chez plusieurs éditeurs comme les éditions de l'Attente ( Sku) ou Contrat maint ( Ka; Khà; Grog(s)).Elle a publié également au Théâtre Typographique Où l'on apprend que Cendrillon a tué sa mère.Avec Bernand Rival, elle dirige cette maison d'édition depuis 1984 où une certaine qualité de poètes sont publiés.
Elle a parlé de Pastior et de ses poèmes anagrammatiques qu'elle a voulu traduire avec Frédéric Forte, nous a appris que Pastior, en séjour dans la Villa Massimo avait trouvé les Histoires d'almanach d'Hebel en cherchant de la littérature esquimaude.
Moi, j'ai découvert deux noms de poètes jusque-là inconnus pour moi.

Mais qui connaît seulement un nom de poète contemporain en France?
Et un nom de femme?

J'ai entendu un homme dans la salle dire en partant que c'était énigmatique cette lecture.
Je dirai un beau jour à Erik Orsenna que la grammaire tibétaine est une chanson surprenante à mes oreilles fainéantes.

Dans la salle se trouvait Sabine Macher dont nous avons vendu cette semaine trois livres aux titres étonnants: Le lit très bas;Un temps à se jeter;Une mouche gracieuse de profil, parus aux éditions Maeght.Je lui ai dit que c'était toujours amusant pour une libraire de rencontrer l'auteur des livres qu'on venait de vendre.

J'ai formulé quelques phrases à la teneur identique à Francis Cohen à propos de Monsieur Le Gros Monsieur, éditions Théâtre typographique, en lui précisant que nous avions eu son livre en vitrine de face mais aussi de dos. Je ne vous détaille pas la quatrième de couverture, venez-la voir,elle vaut le coup d'oeil et je ne vous parle pas du texte...

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