Je rentre de vacances.
Le premier qui dit encore...
Pas la foule cette semaine, m'ont raconté ce matin Maryline et Tristan.
La Sodis commence à rattraper son retard. C'est la cata avec le changement de leur système informatique.Deux clients de suite ont trouvé que nous étions "une vraie librairie".
Bien, ai-je pensé mais ils faudrait qu'ils soient plus que deux...Le quartier est calme, nos clients sont encore en vacances.
J'ai trouvé que notre stagiaire Tristan avait la mine pâlichonne, que la librairie n'était pas trop mal rangée, que ô merveille, nos deux transfo en panne avaient été changés par un gentil, très très gentil client ami.
En prenant connaissance du courrier de la semaine, une invitation à un "cocktail déjeunatoire" m'a fait sourire.
En prenant connaissance du courrier de la semaine, une invitation à un "cocktail déjeunatoire" m'a fait sourire.
J'ai lu deux bons livres cette semaine :
A l'abri du sirocco, de Domenico Campana, coll. piccolo, éd. Liana Levi
L'histoire d'Edgar Sawtelle, de David Wroblewski, éd. Jean-Claude Lattès.
Ce dernier livre faisant 600 pages et une "édition spéciale" m'ayant été offerte au salon du livre, j'ai découpé le livre trop lourd de façon à avoir toujours quelques chapitres sur moi pour poursuivre l'histoire dès que j'avais quelques minutes dans la journée.
Mes amis en vacances ont été horrifiés par mon découpage barbare du livre.
Je n'attache plus d'importance à garder un livre, encore moins une édition spéciale pour libraire.
Et pourtant, je me souviens d'une époque pas si lointaine où je n'arrivais même pas à écrire sur une page, où la vue d'une couverture un peu cornée, d'une page froissée me déplaisait au plus haut point.
A l'abri du sirocco, de Domenico Campana, coll. piccolo, éd. Liana Levi
L'histoire d'Edgar Sawtelle, de David Wroblewski, éd. Jean-Claude Lattès.
Ce dernier livre faisant 600 pages et une "édition spéciale" m'ayant été offerte au salon du livre, j'ai découpé le livre trop lourd de façon à avoir toujours quelques chapitres sur moi pour poursuivre l'histoire dès que j'avais quelques minutes dans la journée.
Mes amis en vacances ont été horrifiés par mon découpage barbare du livre.
Je n'attache plus d'importance à garder un livre, encore moins une édition spéciale pour libraire.
Et pourtant, je me souviens d'une époque pas si lointaine où je n'arrivais même pas à écrire sur une page, où la vue d'une couverture un peu cornée, d'une page froissée me déplaisait au plus haut point.
1 commentaire:
Oui ça se voit que vous rentrez de vacances ! Vous avez bonne mine. Je ne dirai rien mais je le pense ....
Il semblerait que mal de personnes aient pris des vacances ces derniers jours. Où est la crise , se demandent ceux qui ne partiront que cet été ?... si ils partent...
Bonne reprise !
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