Comme étaient conviés les petits et grands, les universitaires ou traders, les engagés ou désillusionnés, j'y suis allée, pensant bien entrer dans l'une de ces catégories.
J'ai lu le dernier livre d'Alain Veinstein, Le développement des lignes, éd. Du Seuil pour la tendresse de ses mots, la douceur de ses phrases dans sa poésie.
Vu Les planches courbes, d'Yves Bonnefoy, L'ordre du discours, de Michel Foucault, Cyrano de Bergerac, d'Edmond Rostand, Le tour du monde en 80 jours de Jules Verne, L'insurrection qui vient du Comité Invisible, La route de Cormac McCarthy, Les misérables de Victor Hugo, Les mains sales et Le mur de Jean-Paul Sartre, Lolita de Nabokov et une petite fille avec Matilda de Roald Dahl.
Un monsieur m'a demandé ce que je notais. J'ai dit que je notais les absents.
2 commentaires:
J'étais sûr que tu nous livrerais avec finesse un compte-rendu de l'événement.
Merci Jean-Marie! Bisesssssssss
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